Une boîte...
à sucettes !
Il y a quelques semaines, lorsque l'on a commencé à parler du Père Noël (vous savez, quand par un beau jour d'octobre vous ouvrez votre boîte aux lettres et que vous vous retrouvez ensevelie sous les catalogues de jouets...et que là vous vous dites "mais lui arrive quoi au Père Noël ? il est overbooké qu'il s'y prend autant à l'avance ?")
Bref il y a quelques semaines, Emma a émis le souhait de "donner ses sucettes au Père Noyel parce qu'elle est grande et que comme ça il les donnerait aux petits bébés qui viennent d'arriver" (je cite)
Je dois avouer que nous étions un peu contents, qu'elle décide de se débarrasser de ces maudites sucettes.
On s'est dit que ça allait se faire en douceur, puisqu'il y avait encore du temps avant que Noël arrive et que l'on jette toutes ses sucettes à la poubelle le Père Noël les récupère pour les donner.
Sauf que comme tout le monde le sait, rien ne se passe jamais comme prévu .
Elle a donc fait sa primo-infection herpétique sa flambée d'herpès, et donc là plus de sucette possible.
Catastrophe, ce n'était pas encore Noël et d'un coup comme ça il fallait apprendre à s'endormir sans...
Du coup, pour compenser ce gros coup dur, les copinautes m'ont soufflé l'idée d'une jolie boîte pour les ranger. En attendant que le Père Noël vienne les chercher, bien sûr.
Donc hop à la recherche d'une belle boîte, au hasard on tombe sur des boîtes brutes à décorer soi-même...l'idée plaît vraiment beaucoup à Emma, c'est décidé, on va à Cultura acheter tout ce qu'il faut pour faire une boîte à sucettes de la mort qui tue (oui oui c'est de là qu'est partie ma fameuse expédition à Cultura qui finalement s'est finie en j'achète-tout-ce-qu'il-faut-pour-faire-les-cadeaux de Noël...et qui me coûte donc les yeux de la tête, pas sûr que je retente le coup de la boîte, là.)
Une fois sorties saines et sauves (et non, je n'exagère pas, traverser tout Marseille en fin d'après-midi ce n'est pas une petite ballade de santé ), Emma attaque la première étape : la peinture.
Rose et parme (tiens ? j'aurai dû parier ), la donzelle a tout voulu faire elle-même ("c'est moi qui fait").
Soit ma fille, débrouille-toi. Et bien je dois avouer que ce n'est pas mal du tout.
2e étape : le collage des décos.
Là pas le choix, il fallait bien que maman aide. Je mettais le point de colle, elle choisissait ses décos et appuyait comme une forcenée les collait délicatement sur la boîte.
Et voilà, trop fière de vous montrer sa boîte disco enfin finie !
Et pour celles qui se demandent, oui le pull est fait maison, tricoté par sa mamy trop forte qui va bientôt m'apprendre (elle ne le sait pas encore, mais moi oui).